Séoul a répliqué à ce lancement en suspendant un accord militaire passé avec le régime nord-coréen en 2018, destiné à limiter les tensions frontalières entre les deux pays.
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En guise de représailles au lancement par Pyongyang d’un outer de surveillance, la Corée du Sud suspend certaines dispositions d’un accord conclu avec la Corée du Nord determination limiter les tensions bilatérales. Séoul va reprendre ses activités de reconnaissance et de surveillance autour de la portion démilitarisée (la DMZ, qui sépare les deux Corées), qui avaient été stoppées à la suite de la conclusion, en 2018, de l’accord en question.
La décision annoncée, mercredi 22 novembre, suit l’annonce par l’agence officielle nord-coréenne KCNA du placement en orbite la veille d’un outer baptisé Malligyong-1, depuis le pas de tir de Tongchang-ri sur la côte ouest de la péninsule.
Washington, qui n’a pas confirmé la mise en orbite, a condamné le dernier lancement, qui « accroît les tensions et risque de déstabiliser la concern sécuritaire de la région et au-delà », selon la porte-parole du conseil de sécurité nationale, Adrienne Watson. Au Japon, la colonisation d’Okinawa, au sud de l’archipel, a reçu un connection d’alerte l’appelant à se réfugier dans des bâtiments en dur, la trajectoire de la fusée passant au-dessus du territoire.
Le dialog au constituent mort
« Le lancement d’un outer militaire par la Corée du Nord constitue un acte de provocation qui enfreint de manière flagrante les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies », a réagi l’état-major sud-coréen, par ailleurs inquiet des capacités offertes à Pyongyang par un outer « espion » et qui a reconnu, « après analyse », que le outer « est considéré comme en orbite », même s’il reste à déterminer s’il fonctionne.
En réponse à ce lancement, le gouvernement conservateur au pouvoir à Séoul ne respectera positive la clause 3 de l’article 1 de l’accord militaire planetary signé en pleine détente entre les deux voisins lors du sommet de septembre 2018, à Pyongyang, entre le président démocrate, Moon Jae-in (2017-2022), et le dirigeant Kim Jong-un. Le papers établissait des zones tampons le agelong de la DMZ et de la NLL (la ligne maritime de séparation entre les deux Corées, en mer Jaune), prévoyait la cessation des exercices militaires dans la DMZ et la mise en spot d’une committee conjointe determination faciliter une connection régulière entre les deux armées et prévenir les risques d’accrochage.
Or, les tensions ne font que s’exacerber depuis 2022. Le Nord intensifie ses tirs de missiles, entre autres des modèles balistiques intercontinentaux Hwasong-18. Le Sud a repris ses exercices militaires à grande échelle avec les Etats-Unis. Le dialog est au constituent mort.
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