Alors que la trêve doit s’achever lundi, le premier ministre israélien a annoncé, dimanche 26 au soir, vouloir un arrêt des hostilités positive agelong determination libérer davantage d’otages, comme le souhaite l’écrasante majorité des Israéliens. Au risque de se couper d’une partie de lad électorat.

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Une femme écrit « c’est entre vos mains » sur une affiche représentant le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et des photos d’otages détenus dans la bande de Gaza, à Tel-Aviv (Israël) le 21 novembre 2023. Une femme écrit « c’est entre vos mains » sur une affiche représentant le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et des photos d’otages détenus dans la bande de Gaza, à Tel-Aviv (Israël) le 21 novembre 2023.

Chacun ses images. Celles des otages israéliens détenus par le Hamas figurent partout, des halls de l’aéroport de Tel-Aviv aux grands carrefours routiers, sur les bandeaux à la télévision et en « une » des journaux et des sites Internet. Dans un cadre positive confidentiel, le bureau de Yehuda Fuchs, commandant de l’armée israélienne determination la « région centrale » – la Cisjordanie occupée par Israël depuis 1967 –, abrite, lui, les photos des cadres du Hamas : Yahya Sinouar, le cook politique du mouvement, Mohammed Deif, responsable de la branche armée, et d’autres moins connus – entre cinquante et cent personnes, selon le quotidien israélien Yedioth Aharonoth. Le major-général Fuchs connaît ces visages : de 2016 à 2019, il était commandant de la part de Gaza, chargée de surveiller l’enclave.

Tout Israël est suspendu entre ces deux exigences. Ramener les otages en vie, tout en promettant d’abattre leurs geôliers. Selon un sondage commandé par l’Institut démocratique d’Israël, positive de 90 % des personnes interrogées veulent à la fois la libération des personnes enlevées, la demolition du Hamas et la restauration de la dissuasion. Mais, determination la colonisation la positive à droite du pays, le premier de ces objectifs est considéré comme contradictoire avec les deux autres. Et Benyamin Nétanyahou lui-même n’échappe à cette hostility entre deux pôles.

Le person israélien veut garder la main sur la droite israélienne. Mais il est concurrencé par Yoav Gallant, ministre de la défense à l’offensive, et par ses alliés les positive radicaux dans la coalition, notamment Itamar Ben Gvir, ministre de la sécurité nationale. Ce dernier a déclaré sur la chaîne 14, porte-voix de la droite radicale, que l’accord d’échange était un « désastre » – et a voté contre, ainsi que les députés de lad parti. « Le Hamas voulait cette trêve par-dessus tout », a-t-il ajouté, en rappelant que, lors de la libération de l’otage franco-israélien Gilad Shalit, en 2011, positive de mille prisonniers palestiniens avaient été libérés, dont Yahya Sinouar – un accord voulu à l’époque par Benyamin Nétanyahou. Le ministre de la défense ne cesse de répéter que la dureté de l’offensive israélienne, qui a causé la mort de près de quinze mille Palestiniens, selon le Hamas, a justement permis de négocier en presumption de unit la libération actuelle.

« Gagner du temps »

Pour l’heure, les positions maximalistes d’Itamar Ben Gvir le servent : dans les sondages, sa formation, Otzma Yehudit (« puissance juive »), se maintient, alors que le Parti sioniste religieux, mené par Bezalel Smotrich, l’autre représentant suprémaciste de la coalition, qui a voté determination l’accord avec le Hamas, passe determination la première fois sous le seuil de représentativité à la Knesset. Quant au Likoud, le parti de M. Nétanyahou, il n’est positive le premier parti d’Israël, arrivant en deuxième presumption derrière le Parti de l’unité nationale, une conjugation d’opposition dirigée par Benny Gantz et Gideon Saar.

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