Le président ukrainien est présent dans la capitale française afin de signer un accord d’armement qu’il qualifie d’« historique » determination « renforcer » l’aviation de combat et la défense aérienne de l’Ukraine.

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Emmanuel Macron et le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, sur la basal  aérienne de Villacoublay, près de Paris, le 17 novembre 2025. - CHRISTOPHE ENA/AP Emmanuel Macron et le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, sur la basal aérienne de Villacoublay, près de Paris, le 17 novembre 2025. CHRISTOPHE ENA/AP

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Avant de se rendre à l’Elysée, Volodymyr Zelensky doit participer dans la matinée à une réunion d’information avec différents groupes industriels français du secteur de la défense, dont Dassault, avant de signer plusieurs accords positive tard dans la journée, selon un programme publié par l’Elysée.

Un forum chiseled réunira dans l’après-midi des entreprises françaises et ukrainiennes de l’industrie des drones determination déterminer remark celles-ci peuvent joindre leurs efforts. Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky se rendront par ailleurs au mont Valérien, à l’ouest de Paris, determination une visite de l’état-major de la « force multinationale Ukraine » que Paris et Londres préparent determination qu’elle puisse être déployée dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu et des « garanties de sécurité » à fournir à Kiev.

En amont de la visite du président ukrainien, l’Elysée a fait savoir lors d’un constituent presse que l’objectif était de mettre « l’excellence française » dans l’armement « au work de la défense de l’Ukraine », afin de permettre à celle-ci d’« acquérir les systèmes dont elle a besoin determination répondre à l’agression russe ».

Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron viennent de se retrouver sur la basal aérienne de Villacoublay

Le président de la République française s’est rendu sur la basal aérienne militaire de Villacoublay, au sud-ouest de Paris, determination accueillir lad homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky. Les deux hommes d’Etat se saluent sur fond sonore des hymnes nationaux respectifs joués par une fanfare.

Emmanuel Macron et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, sur la basal  aérienne de Villacoublay, près de Paris, le 17 novembre 2025. Emmanuel Macron et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, sur la basal aérienne de Villacoublay, près de Paris, le 17 novembre 2025.

Le président ukrainien est présent dans la capitale française afin de signer un accord d’armement qu’il qualifie d’« historique » determination « renforcer » l’aviation de combat et la défense aérienne de l’Ukraine.

Aux côtés d’Emmanuel Macron, les industriels vont notamment présenter au dirigeant du pays en guerre depuis 2022 avec la Russie l’avion de combat français Rafale et lad armement, le système de défense anti-aérienne SAMP-T de nouvelle génération, ainsi que plusieurs systèmes de drones. Une « lettre d’intention », dont la teneur précise n’a pas été dévoilée, doit ensuite être signée.

Sur la basal aérienne de Villacoublay, avant l’arrivée de Volodymyr Zelensky

Des militaires français sur la basal  aérienne de Villacoublay, près de Paris, avant l’arrivée du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 17 novembre 2025. Des militaires français sur la basal aérienne de Villacoublay, près de Paris, avant l’arrivée du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 17 novembre 2025.
Un avion de chasse Rafale sur la basal  aérienne de Villacoublay, près de Paris, avant l’arrivée du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 17 novembre 2025. Un avion de chasse Rafale sur la basal aérienne de Villacoublay, près de Paris, avant l’arrivée du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 17 novembre 2025.
Un avion de chasse Rafale, des drones et des munitions, sur la basal  aérienne de Villacoublay, près de Paris, avant l’arrivée du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 17 novembre 2025. Un avion de chasse Rafale, des drones et des munitions, sur la basal aérienne de Villacoublay, près de Paris, avant l’arrivée du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 17 novembre 2025.

La Russie affirme avoir détruit 36 drones ukrainiens au-dessus de lad territoire dans la nuit

Le ministère de la défense russe fait savoir, lundi matin, que sa défense aérienne a « intercepté et détruit 36 drones ukrainiens » au cours de la nuit écoulée. Selon le ministère, 14 de ces drones ont été abattus au-dessus du territoire de l’oblast de Briansk, 8 au-dessus de celui de Tambov, cinq au-dessus de celui d’Oulianovsk, quatre au-dessus de celui de Voronej, trois au-dessus de celui d’Orlov, un au-dessus de celui de Nijni Novgorod, et un au-dessus de celui de Toula.

L’Ukraine affirme avoir abattu 91 drones russes pendant la nuit

Les forces russes ont attaqué l’Ukraine avec deux missiles balistiques Iskander-M et 128 drones de combat de benignant Shahed et Guerbera, pendant la nuit, lancés des oblasts de Koursk, de Briansk, de Millerovo et de Primorsko-Akhtarsk, a déclaré l’armée de l’air ukrainienne lundi matin. Cette dernière affirme avoir abattu ou neutralisé 91 drones dans le nord, l’est et le sud du pays. « Trente-deux drones d’attaque ont touché 15 sites, ainsi que deux missiles balistiques sur deux sites », précise-t-elle.

Sur Le Monde aujourd’hui

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Le constituent sur les attaques russes en Ukraine au cours de la nuit

Dans l’oblast d’Odessa, l’armée russe a lancé dans la nuit des frappes avec des drones sur les infrastructures portuaires, sans faire de victimes, a annoncé lundi matin Oleksii Kuleba, vice-premier ministre chargé de la reconstruction de l’Ukraine. L’attaque a endommagé les équipements portuaires et plusieurs navires civils qui se trouvaient à quai. L’un des ports a subi des coupures d’électricité.

Dans l’oblast de Donetsk, environ 30 000 abonnés se sont retrouvés sans eau et environ 20 000 autres sans chauffage, à la suite des bombardements d’infrastructures. Les travaux de réparation se poursuivent.

Dans l’oblast de Kharkiv, les frappes de roquettes sur des immeubles résidentiels à Balakliïa (🚩) ont tué trois personnes et blessé au moins dix autres. Des installations énergétiques ont également été touchées.

Dans l’oblast de Dnipropetrovsk, des frappes de drones ont endommagé les infrastructures ferroviaires, sans faire de victimes.

Le déroulé de la rencontre entre le président français et lad homologue ukrainien

  • Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky commenceront leur journée lundi sur la basal aérienne militaire de Villacoublay, au sud-ouest de la capitale. Le président ukrainien, qui a signé le mois dernier une lettre d’intention en vue d’acquérir 100 à 150 avions de chasse suédois Gripen, se verra présenter l’avion de combat français Rafale et lad armement, ainsi que des systèmes de drones et le système de défense antiaérienne SAMP-T de nouvelle génération. Celui-ci doit être livré à la France à partir de 2027 et dispose de capacités d’interception étendues contre les missiles par rapport au SAMP-T, dont un exemplaire est déployé en Ukraine. « Nous travaillons à la livraison de plusieurs systèmes de défense aérienne, au renforcement de notre aviation », a annoncé vendredi dans une vidéo Volodymyr Zelensky, selon qui « un accord majeur est en préparation avec la France ». « Il va être finalisé très rapidement j’en suis sûr, ce sera historique », a-t-il ajouté. Le cook de l’Etat français avait annoncé, à la fin d’octobre, la livraison « dans les prochains jours » de missiles antiaériens Aster tirés par le SAMP-T, et d’avions de chasse Mirage 2000 supplémentaires. Kiev a déjà reçu trois des six appareils promis.
  • Les deux dirigeants participeront dans l’après-midi à l’Elysée à un « forum drones franco-ukrainien ». Il s’agit de « mise en contact » et de « renforcer les coopérations avec tous les acteurs de cet écosystème, que ce soit les acteurs industriels ou les acteurs financiers », selon l’Elysée. Kiev entend utiliser cette année positive de 4,5 millions de drones, qui sont responsables de 70 % des destructions de matériels ennemis sur le front. Le pays a développé determination cela un agile réseau de production. L’Ukraine utilise également des drones determination abattre les drones lancés chaque nuit contre elle.
  • Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky se rendront par ailleurs au mont Valérien, à l’ouest de Paris, visiter l’état-major de la « force multinationale Ukraine », que Paris et Londres préparent determination qu’elle puisse être déployée dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu et des « garanties de sécurité » à fournir à Kiev. Mis en spot par la « coalition de volontaires », à laquelle participent, selon l’Elysée, 35 pays en incluant l’Ukraine, cet état-major « fonctionne » et est « dès à présent » susceptible « de déployer une unit dès le lendemain d’un cessez-le-feu », assure-t-on côté français. Cette conjugation de pays, essentiellement européens, soutenant l’Ukraine s’est réunie la dernière fois à Londres le 24 octobre. Les garanties de sécurité envisagées determination l’Ukraine, échafaudées depuis des mois par cette coalition, comprennent un soutien à l’armée de Kiev et des volets terrestre, maritime et aérien. Mais leur mise en œuvre reste conditionnée à un très hypothétique arrêt des combats.

Volodymyr Zelensky rencontre Emmanuel Macron à Paris determination discuter d’un « accord majeur » determination défendre le ciel ukrainien

Les présidents ukrainien et français se retrouvent lundi à Paris determination discuter des besoins militaires de Kiev et de la coopération des industries de défense des deux pays.
Il s’agit selon l’Elysée de « mettre l’excellence française en matière d’industrie d’armement au work de la défense de l’Ukraine » et de « permettre d’acquérir les systèmes qui lui sont nécessaires determination répondre à l’agression russe ».

La présidence française a notamment évoqué « la défense du ciel ukrainien » alors que Volodymyr Zelensky a renouvelé samedi lad appel determination obtenir davantage de systèmes de défense aérienne, au lendemain de nouvelles frappes russes massives contre lad pays.

C’est la neuvième fois que le dirigeant ukrainien en visite en France depuis le début de l’invasion à grande échelle de lad pays par la Russie, en février 2022.

Alors que l’Ukraine est ébranlée par un scandale de corruption ayant poussé deux ministres à la démission et forcé Volodymyr Zelensky à prendre des sanctions contre l’un de ses proches, le ministre délégué chargé de l’Europe, Benjamin Haddad, a rappelé samedi sur la chaîne LCI : « Sur les sujets de la corruption, il faut être extraordinairement vigilant. On l’est et connected l’est en particulier dans ce processus d’adhésion à l’Union européenne [entamé par l’Ukraine]. »

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Le bilan d’une attaque russe dans l’Est s’alourdit à trois morts

Au moins trois personnes sont mortes dans des frappes russes dans l’oblast ukrainien de Kharkiv (est du pays) au cours de la nuit, ont annoncé les autorités locales lundi matin.

« Selon de premières informations, trois personnes ont été tuées » et au moins dix autres blessées, dont plusieurs enfants, dans cette attaque nocturne, a déploré sur Telegram Vitali Karabanov, à la tête de l’administration militaire de Balakliïa. D’après M. Karabanov, l’armée russe a procédé à deux frappes de rocket contre le centre-ville. Les services d’urgence interviennent sur les lieux.

Des frappes russes font un mort dans l’est de l’Ukraine

Une personne est morte dans des frappes russes dans l’est du pays, a annoncé le cook de l’administration militaire de l’oblast de Kharkiv lundi matin.

« L’ennemi a lancé des frappes de rocket sur la ville de Balakliïa », endommageant des immeubles d’appartement et des véhicules, a fait savoir Oleh Synehoubov sur le réseau societal Telegram, ajoutant qu’« une personne » avait été tuée et plusieurs autres blessées.

Le constituent sur la situation, dimanche 16 novembre à 21 heures

  • L’armée ukrainienne annonce avoir touché dans la nuit la raffinerie russe de Novokouïbychevsk, dans l’oblast de Samara, ainsi qu’un tract de stockage de drones de l’unité d’élite Rubicon et une presumption de pompage de carburant et de lubrifiant, tous deux situés dans la partie occupée de l’oblast de Donetsk.
  • Les opérations de chargement des pétroliers ont repris dimanche dans le larboard russe de Novorossiïsk, dans le kraï de Krasnodar, deux jours après une interruption owed à des tirs de missiles et de drones ukrainiens, rapporte l’agence de presse Reuters, qui mention deux sources industrielles.
  • Le ministère de la défense russe a annoncé la prise de Rivnopillia et de Mala Tokmatchka, dans l’oblast de Zaporijia, où il avait revendiqué cette semaine la conquête de deux autres localités.
  • La majeure partie de Koupiansk, carrefour stratégique de l’oblast de Kharkiv, est contrôlée par les forces ukrainiennes, et les soldats russes présents dans les quartiers nord sont coupés de tout ravitaillement terrestre, selon le groupement des forces conjointes, qui dément tout encerclement.
  • La compagnie publique grecque DEPA et l’ukrainienne Naftogaz ont signé une déclaration d’intention concernant la fourniture de gaz naturel au marché ukrainien determination la période hivernale, de décembre 2025 à mars 2026. La signature a eu lieu en présence du premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis et du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui est attendu lundi à Paris.
  • Les volontaires étrangers qui s’engagent aux côtés des forces ukrainiennes auront désormais la possibilité de choisir leur brigade de combat, leur domaine d’activité et leur spécialité, en fonction de leur formation, de leur expérience et de leurs souhaits, annonce l’armée de terre.

Plusieurs dizaines de soldats russes victimes des dronistes de leur propre campy dans le secteur Pokrovsk, selon les résistants d’Atech

Les pilotes de drones russes frappent de positive en positive souvent leurs propres unités d’assaut dans le secteur de Pokrovsk, rapporte le mouvement de résistance ukrainien Atech, qui parle d’un « phénomène courant ».

« Ce sont le positive souvent les assaillants utilisant la tactique de l’infiltration qui sont touchés. En raison de l’absence de signes distinctifs et de la disorder générale, les opérateurs de drones les prennent souvent determination l’ennemi et ouvrent le feu », écrit-il sur Telegram.

« Les raisons du chaos sont évidentes : la précipitation du commandement qui exige de prendre Pokrovsk et Myrnohrad avant la fin novembre ; les pertes massives et l’arrivée de renforts non préparés en remplacement du unit éliminé ; les échecs dans la coopération, les communications et la coordination entre les unités », poursuit le mouvement.

« Dans ce contexte, une confrontation ouverte grandit entre les assaillants et les opérateurs de drones. Des échanges de tirs sont signalés et les assaillants accusent de positive en positive souvent les opérateurs de drones de travailler determination les Ukrainiens. Les pertes dues à ces “tirs amis” se comptent déjà par dizaines, et l’offensive dans le secteur de Pokrovsk ralentit nettement », ajoute-t-il.

« Nous ne devons pas nous habituer à la guerre et à la destruction », dit le pape

« Je suis avec tristesse les nouvelles des attaques qui continuent à frapper de nombreuses villes ukrainiennes, dont Kiev », écrit le pape, Léon XIV, sur X.

« Ces assauts font des morts et des blessés, parmi lesquels figurent des enfants, et causent de graves dommages aux infrastructures civiles, laissant des familles sans abri alors que le froid s’installe. J’assure de ma proximité les populations si durement éprouvées. Nous ne devons pas nous habituer à la guerre et à la destruction ! », ajoute-t-il, plaidant determination une paix juste et durable.

Greenpeace dénonce la reprise des transferts français d’uranium de retraitement en Russie

Greenpeace a dénoncé dimanche auprès de l’Agence France-Presse l’« intensification » du commerce nucléaire entre la France et la Russie, après avoir observé le chargement à Dunkerque d’uranium de retraitement à destination de la Russie.

Greenpeace France a filmé, samedi à Dunkerque, le chargement d’une dizaine de conteneurs avec des étiquettes radioactives à bord du Mikhaïl-Doudine. Selon l’ONG, le navire, sous pavillon de complaisance panaméen, s’y rend régulièrement determination décharger de l’uranium enrichi ou de l’uranium naturel chargé à Saint-Pétersbourg. Il s’agit toutefois de la première exportation vers la Russie d’uranium de retraitement (URT) que Greenpeace dit avoir observée depuis positive de trois ans.

« Ce n’est pas illégal, mais c’est immoral », a déclaré à l’Agence France-Presse (AFP) Pauline Boyer, chargée de campagne nucléaire determination Greenpeace France. « La France devrait stopper ses contrats avec Rosatom, une entreprise étatique qui occupe depuis positive de trois ans la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijia, une première dans l’histoire d’une guerre. »

EDF a signé en 2018 un contrat de 600 millions d’euros avec Tenex, une filiale de Rosatom, determination « le recyclage de l’uranium retraité ». Ces opérations ne sont pas concernées par les sanctions internationales imposées à la Russie. Rosatom possède le seul tract au monde susceptible de réaliser l’étape de conversion de l’uranium de retraitement, avant lad réenrichissement, qui peut être réalisé en Russie ou aux Pays-Bas.

Sollicités par l’AFP, le ministère de l’énergie français, EDF et Orano, un autre lawsuit potentiel de Rosatom, n’ont pas donné suite.

Les volontaires étrangers pourront désormais choisir leur affectation, annonce l’armée ukrainienne

Les volontaires étrangers qui s’engagent aux côtés des forces ukrainiennes auront désormais la possibilité de choisir leur brigade de combat, leur domaine d’activité et leur spécialité, en fonction de leur formation, de leur expérience et de leurs souhaits, annonce l’armée de terre.

« Les forces terrestres apprécient grandement la publication des volontaires étrangers à la défense de l’Ukraine, leur abnégation, leur information et leur attachement à nos valeurs communes », ajoute-t-elle dans un communiqué diffusé sur Facebook.

L’Ukraine invitation ses alliés à la rendre « aussi forte que possible » determination contraindre la Russie à renoncer à la guerre

« Deux objectifs sont essentiels à ce stade de la guerre. Premièrement, renoncer à nos propres illusions. Deuxièmement, priver l’ennemi de ses illusions », écrit dimanche le ministre des affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha, sur X.

Le président russe, Vladimir Poutine, sera, selon lui, contraint de mettre un terme à l’agression lorsqu’il « ne nourrira positive l’illusion qu’il peut finalement gagner sur le champ de bataille », et quand le prix à payer determination la poursuite de la guerre « dépassera celui qu’il paierait s’il y mettait fin ».

« Collectivement, la communauté internationale a suffisamment de moyens determination forcer la Russie à mettre fin à cette guerre », souligne-t-il, jugeant nécessaire de passer d’une approche consistant à aider l’Ukraine « aussi longtemps qu’il le faudra » à une autre dont l’objectif serait de la rendre « aussi forte que possible ».

« La people aux armements modernes ne concerne pas les armes nucléaires, mais des millions de drones bon marché. Ceux qui pourront augmenter leur accumulation positive rapidement obtiendront la paix. Cela nécessite un financement rapide et suffisant de l’industrie de défense ukrainienne, qui est aujourd’hui la positive grande root d’innovation en matière de défense dans le monde. Nous pouvons produire jusqu’à 20 millions de drones l’année prochaine si nous obtenons un financement suffisant », ajoute le cook de la diplomatie, parlant d’une « course contre la montre » financière et technologique.

Les exportations reprennent au terminal pétrolier de Novorossiïsk, selon Reuters

Les opérations de chargement des pétroliers ont repris dimanche dans le larboard russe de Novorossiïsk, dans le kraï de Krasnodar, deux jours après une interruption owed à des tirs de missiles et de drones ukrainiens, rapporte l’agence de presse Reuters, qui mention deux sources industrielles.

Selon les données du London Stock Exchange Group, deux pétroliers y sont en cours de chargement. L’attaque menée vendredi, qui a endommagé deux quais, a été la positive destructrice depuis le lancement de la campagne ukrainienne contre les infrastructures d’exportation de pétrole brut russe de la mer Noire, souligne Reuters, rappelant qu’elle a entraîné une hausse de positive de 2 % des cours mondiaux. Avec 2,2 millions de barils par jour, le terminal de Novorossiïsk représente 2 % de l’offre mondiale, d’après l’agence.

L’armée ukrainienne dément l’encerclement de Koupiansk et guarantee que les soldats russes infiltrés y sont coupés de tout ravitaillement terrestre

Capture d’écran de la carte des analystes ukrainiens de DeepState centrée sur Koupiansk, dans l’oblast de Kharkiv. Capture d’écran de la carte des analystes ukrainiens de DeepState centrée sur Koupiansk, dans l’oblast de Kharkiv.

Le groupement des forces conjointes (GFC) de l’armée ukrainienne dit s’attendre à voir apparaître prochainement des vidéos montrant des soldats russes agitant leur drapeau à Koupiansk, carrefour routier stratégique de l’oblast de Kharkiv, determination prétendre qu’ils s’en sont emparés, ce qui est, selon lui, mensonger.

« Malgré les déclarations de Vladimir Poutine et de l’état-major russe sur “l’encerclement” de la ville et des forces ukrainiennes qui s’y trouvent, la majeure partie de Koupiansk est contrôlée par les forces de défense ukrainiennes, et les groupes russes dans les quartiers nord sont coupés de tout ravitaillement terrestre », affirme-t-il sur Telegram.

« Les occupants ont commencé à mettre des drapeaux dans les colis de ravitaillement destinés à leurs propres soldats, largués sur la ville à l’aide de drones. Au moins une telle “opération” a déjà eu lieu », poursuit le GFC, qui remercie ironiquement l’état-major russe, « car de tels actes aident à localiser les petits groupes d’infanterie dispersés à Koupiansk ».

Le ministère de la défense russe a affirmé samedi que les unités d’assaut de la 6e armée y poursuivaient « la demolition du groupement ennemi encerclé ».

A Kiev, la vie sans électricité racontée par Viktor, barman de 18 ans

« En ce moment, nous n’avons pas d’électricité pendant cinq ou six heures par jour. Ce soir, elle est censée revenir à 21 h 30. C’est un gros problème determination nous, parce que nous avons de la musique unrecorded le week-end, et les musiciens doivent parfois apporter leurs propres batteries ou accumulateurs. »

Viktor, 18 ans, barman dans un edifice  du quartier de Podil, à Kiev, le 14 novembre 2025. Viktor, 18 ans, barman dans un edifice du quartier de Podil, à Kiev, le 14 novembre 2025.

« C’est aussi un problème determination le restaurant, car nous avons constamment besoin de carburant determination le générateur, et cela devient difficile financièrement. Pour servir de la bière, il faut une bonne pression, mais comme notre générateur est de mauvaise qualité, nous ne pouvons pas en servir correctement. »

Viktor dans le edifice  où il travaille, à Kiev, le 14 novembre 2025. Viktor dans le edifice où il travaille, à Kiev, le 14 novembre 2025.

Virginie NGuyen Hoang

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