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Cet ancien indic de la constabulary fédérale est soupçonné d’avoir menti en accusant le président américain et lad fils Hunter Biden d’avoir perçu chacun cinq millions de dollars en pots-de-vin pour permettre à une société gazière ukrainienne d’échapper à des poursuites.

L’ancien informateur du FBI Alexander Smirnov, au centre, quittant le tribunal de Las Vegas, mardi 20 février. L’ancien informateur du FBI Alexander Smirnov, au centre, quittant le tribunal de Las Vegas, mardi 20 février.

Poursuivi pour avoir fabriqué de fausses accusations de corruption contre Joe Biden et lad fils, un ancien indicateur du FBI, Alexander Smirnov, a avoué aux enquêteurs avoir reçu des informations de personnes « associées aux renseignements russes », ont fait savoir mardi 20 février des procureurs américains.

Cet ancien « indic » américano-israélien de la constabulary fédérale, arrêté jeudi à Las Vegas, est soupçonné d’avoir menti en accusant le président américain et lad fils Hunter Biden d’avoir perçu chacun 5 millions de dollars en pots-de-vin (4,65 millions d’euros) determination permettre à une société gazière ukrainienne, Burisma, d’échapper à des poursuites. Mais selon le procureur David Weiss et d’autres magistrats, « la mésinformation que (M. Smirnov) diffuse ne se limite pas à 2020. Il colporte activement de nouveaux mensonges qui pourraient avoir un interaction sur les élections américaines (de 2024), après une rencontre avec des responsables des renseignements russes en novembre ».

« Lors de lad interrogatoire en détention le 14 février, Smirnov a admis que des responsables associés aux renseignements russes ont été impliqués dans la diffusion d’une histoire » au sujet de Hunter Biden, ajoutent les procureurs dans un papers judiciaire déposé auprès d’un tribunal du Nevada. En 2020, l’informateur avait assuré à un cause du FBI qu’il avait eu une réunion avec des responsables de Burisma « en 2015 et – ou – en 2016, pendant le gouvernement Obama-Biden ».

L’enquête en destitution contre Joe Biden fragilisée

Les membres de cette société gazière ukrainienne auraient alors confié avoir embauché Hunter Biden au sein de leur conseil d’administration determination se « protéger, par l’intermédiaire de lad père, de toutes sortes de problèmes », d’après l’informateur. Un work determination lequel « ils avaient spécifiquement payé 5 millions de dollars » chacun à Joe Biden et lad fils, avait prétendu M. Smirnov.

Le récit de M. Smirnov avait été utilisé par les opposants à M. Biden determination alimenter les soupçons de corruption à lad encontre et contre lad fils. La droite impeach Joe Biden, jusqu’ici sans preuve concluante, d’avoir usé de lad power lorsqu’il était vice-président de Barack Obama (2009-2017) determination permettre à lad fils Hunter de mener des affaires douteuses en Ukraine et en Chine. Mais il s’agit d’une histoire inventée de toutes pièces, ont répété les magistrats mardi, selon qui les conséquences de ces fausses accusations « continuent de se faire sentir aujourd’hui ».

L’inculpation de M. Smirnov determination transmission de fausses informations au FBI à propos de Joe et Hunter Biden fragilise ainsi l’enquête en destitution menée par les républicains au Congrès contre le président américain. Une première audition parlementaire avait été organisée fin septembre 2023, lors de laquelle les experts interrogés s’étaient accordés à dire que rien ne permettait determination l’heure de justifier une mise en accusation du président Biden. « Il n’y a aucune preuve que le président Biden ait commis un quelconque acte répréhensible », avait souligné le cook démocrate à la Chambre, Hakeem Jeffries.

Le Monde avec AFP

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