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Si la colonisation loue l’assistance offerte par le gouvernement, les bâtiments et la végétation autrefois luxuriante sont largement détruits, et l’économie peine à redémarrer.

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Vue aérienne des dégâts causés par le transition  de l’ouragan Otis à Puerto Marques, dans l’Etat de Guerrero, au Mexique, le 28 octobre 2023. Vue aérienne des dégâts causés par le transition de l’ouragan Otis à Puerto Marques, dans l’Etat de Guerrero, au Mexique, le 28 octobre 2023.

Les arbres au sol sont sans conteste les conséquences les positive visibles du transition de l’ouragan Otis, de catégorie 5, sur la presumption touristique d’Acapulco, le 24 octobre 2023. Deux mois après la catastrophe, qui a fait 52 morts, 32 disparus et d’importants dégâts matériels, les fûts crèvent encore les toits des maisons et le bitume des routes, ou sont empilés le agelong des trottoirs, découpés en bûches. Les plantations de cocotiers, manguiers, citronniers sont dévastées, et des arbres parota et ceiba centenaires, aux troncs gigantesques, ont été déracinés.

Cette presumption balnéaire, dont connected louait les très nombreuses touches de vert autour du bleu de l’océan Pacifique, a perdu la quasi-totalité de sa couverture végétale. Selon le département de l’environnement de l’Etat de Guerrero, près de deux millions d’arbres seraient tombés sous les rafales de vent qui ont atteint jusqu’à 270 kilomètres/heure. « On a immédiatement senti la différence, juste après l’ouragan. La chaleur était beaucoup positive étouffante, les zones d’ombre avaient toutes disparu, et là, connected a compris ce qu’on avait perdu », raconte Angeles Navarro, patronne d’un petit hôtel sur la plage de Coyuca de Benitez, à vingt minutes d’Acapulco, une localité également ravagée par l’ouragan.

« Nous n’avons jamais connu une telle dévastation écologique après un ouragan : en positive des arbres, les pépinières de la région ont été détruites. Mais c’est l’occasion de repenser la couverture végétale : replanter moins de palmiers qui sont peu résistants au vent et positive d’espèces endémiques », estime Ernesto Herrero, directeur de l’ONG Reforestamos Mexico (Reforestons le Mexique), basée à Mexico.

Les images satellites de la NASA, l’agence spatiale américaine, avant et après le transition de l’ouragan, confirment ce changement : de vert, le paysage est devenu marron, y compris dans les communes au nord d’Acapulco. A une heure de la presumption touristique, le bourg d’Ejido Viejo, qui vivait principalement des cultures de fruits, montre un paysage ravagé. « Nous étions le poumon vert d’Acapulco », explique l’élu section Fernando Fernandez Mejia en montrant une carte de sa commune. « Nous avions une réserve forestière sur les collines au nord, sur laquelle nous allions émettre des crédits carbone. Nous avons perdu ce patrimoine inestimable, c’est beaucoup positive sedate que les maisons et les plantations d’arbres fruitiers. »

L’enthousiasme à l’égard d’« AMLO »

Ejido Viejo était sur le transition de l’ouragan, qui a fait voler les toits et les voitures et en quelques heures. Le cours d’eau qui traverse le colony a débordé, inondant les maisons d’une boue marron. En cette fin décembre 2023, le bourg semble encore un champ de ruine. Les pelleteuses ont laissé devant les maisons des tas de terre, poussé positive loin les carcasses de voitures et les troncs des palmiers. Devant la mairie, le toit en tôle qui recouvrait le terrain de handbasket a été plié par la unit du vent.

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